samedi 20 avril 2013

Breathing

Ma semaine de stage marketting est enfin terminée. C'était long. Je suis contente que ça soit finit et de retourner dans la première boîte. J'ai commencé à rédiger mon mémoire. Je pense être dans les temps.

Mais le reste... Je me sens triste ce matin. Seule. J'ai l'impression d'étouffer. 
Jeudi soir une amie m'a embarqué a un cours de salsa, son pote avec qui elle danse avait un pote qui cherchait une cavalière. J'y allais sans trop d'idées derrière la tête. Il était sympa, mais jeune, "pas sérieux". 

Je regarde mon coeur se durcir et je suis blasée. Je ne vois pas l'issue de tout ça. De ma solitude. C'est peut être pour ça que personne ne me plaît réellement (Le Beau me plaisait physiquement, le reste n'était que fantasmé). Je voudrais tellement ressentir à nouveau ce que j'ai pu ressentir avec l'ex au début de notre relation. Une entente presque parfaite. Une attirance réciproque. Sans les silences qui ont ensuite ponctués notre relation. 

Je voudrais me sentir à nouveau vivante. Parce que c'est quand même une des grandes fonctions de l'amour partagé non? Se sentir vivants. J'ai l'impression de faner depuis des années... 

J'ai l'impression d'avoir écrit cet article des centaines de fois... C'est sûrement vrai, j'ai la flemme de parcourir les archives... 

Dans quelques mois j'accueillerais un chaton dans mon appartement. C'est une des choses qui me manque le plus depuis que je suis partie de chez mes parents, j'ai toujours dis que je prendrais un chat dès que je me sentirais de l'assumer financièrement, mais je sais aussi que je le prend par résignation. Que je me dis que ça sera peut être moins dur de savoir qu'un petit être ronronnera de bonheur en me voyant rentrer le soir. 



J'ai toujours peur que ça se voit... Mon malaise derrière mon sourire de façade... 

1 commentaire:

  1. C'est fou comme les chats peuvent amener le sourire. J'espère qu'il va arriver vite.

    Je ne sais pas comment tu fais pour rester triste comme ça, quand je me vois, à peine 3 mois après le Toulousain, j'ai déjà des papillons dans le ventre en pensant au salsero et en me demandant s'il me donnera signe de vie en rentrant de vacances. J'ai souvent l'impression d'écourter mes périodes de deuil après les ruptures, de ne pas prendre le temps de digérer comme il faut. Mais je ne supporte pas d'être "fanée" comme tu dis.
    Mais ça demande pas mal de cran, et une bonne dose d'humour pour faire face.

    Je t'apprendrai :)

    courage poulette.

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